CHANSONS

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CHANSON DETOURNEE DE 'LA MERE MICHEL'

extrait de 'Les plus jolies chansons de notre enfance' /Vincent Malone Ed. Panama

C'est la mère Michel qui perd son labrador

Elle crie par la fenêtre qui va lui rendre alors

C'est le vieux Lee Wang Chu qui lui a épondu :

'Pas crier, mère Michel, le chien pas disparu'

Sur l'air du ding dong ding, sur l'air du ping pong ping,

Sur l'air du 'C'est du n'importe quoi c'est du chinois!'

C'est la mère Michel qui lui a demandé :

'Mon chien n'est pas perdu, vous l'avez donc trouvé?'

C'est le vieux Lee Wang Chu qui lui a répondu :

'Trouver pas difficile, chien être sur menu'

Sur l'air du ding dong ding, sur l'air du ping pong ping,

Sur l'air du 'C'est du n'importe quoi c'est du chinois!'

La mère Michel dit : 'Si vous être d'accord

je vous donne un baiser contre mon labrador'

Mais le vieux Lee Wang Chu, qui n'en a pas voulu :

'Je faire, madame Michel, avec chien du tofu'

Sur l'air du ding dong ding, sur l'air du ping pong ping,

Sur l'air du 'C'est du n'importe quoi c'est du chinois!'

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Comment c'est la Chine
Paroles et Musique: Pierre Perret

 

Comment c'est la Chine
C'est plein de chinois
Je les imagine serrés comme des petits pois
C'est pas ça Ginette ils sont pas serrés
Ils ont même un sacré de planète pour respirer
De la vallée du fleuve Jaune
Jusqu'à la route de la soie
Sur la muraille qui moutonne
Y a rien que des chinois
J'ai vu les collines multicolores
L'armée enterrée de Sian
Admiré des chevaux d'or
Et découvert le yang-tseu-kiang
J'ai vu les rizières et les mûriers
Bambous et camphriers
Et dans les champs qui trottinent
Quelques tracteurs de l'époque Ming

Comment c'est la Chine
C'est plein de chinois
Je les imagine tirant des pousse-pousse en bois
C'est pas ça Ginette y a plus de mandarins
Ils ont tous des bicyclettes pour se rendre au turbin
Ils vont faire la cueillette
Du thé et du ver à soie
Les filles brodent des chemisettes
Qu'elles ne mettront pas
J'ai vu les dragons en céramique
Au palais d'été fleuri
Et la porte fantastique
De la suprême harmonie
Et la toiture du temple du ciel
Au bleu si lumineux
De grands lacs artificiels
Et un bouddha libidineux

Comment c'est la Chine
C'est plein de chinois
Je les imagine dans de jolies pagodes en bois
Ça n'est plus Ginette le céleste empire
Les Hlm ont fleuri au pays du sourire
Ils ont un toit sur la tête
Un peu de riz dans leur bol
Ils craignent pas la tempête
Ni le cholestérol
J'ai vu des statues de jade blanc
De sublimes bronzes Tchang
Et des danseuses élégantes
Avec des manches flottantes
J'ai déguste des œufs de mille ans
Et des filets de méduse
Préparés aux graines de lotus

Comment c'est la Chine
C'est plein de chinois
Je les imagine aussi rusés qu'ils sont courtois
C'est pas ça Ginette c'est un peuple fier
Et c'est pas des gens qui ont du mou de veau dans la théière
J'ai fait le pari loufoque que je reviendrai là-bas
Chanter le zizi en chinetoque y-z-en seront baba

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Jacques Dutronc
ET MOI, ET MOI, ET MOI


Sept cent millions de chinois
Et moi, et moi, et moi
Avec ma vie, mon petit chez-moi
Mon mal de tête, mon point au foie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Quatre-vingt millions d'indonésiens
Et moi, et moi, et moi
Avec ma voiture et mon chien
Son Canigou quand il aboie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Trois ou quatre cent millions de noirs
Et moi, et moi, et moi
Qui vais au brunissoir
Au sauna pour perdre du poids
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Trois cent millions de soviétiques
Et moi, et moi, et moi
Avec mes manies et mes tics
Dans mon petit lit en plume d'oie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Cinquante millions de gens imparfaits
Et moi, et moi, et moi
Qui regarde Catherine Langeais
A la télévision chez moi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Neuf cent millions de crève-la-faim
Et moi, et moi, et moi
Avec mon régime végétarien
Et tout le whisky que je m'envoie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Cinq cent millions de sud-américains
Et moi, et moi, et moi
Je suis tout nu dans mon bain
Avec une fille qui me nettoie
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Cinquante millions de vietnamiens
Et moi, et moi, et moi
Le dimanche à la chasse au lapin
Avec mon fusil, je suis le roi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

Cinq cent milliards de petits martiens
Et moi, et moi, et moi
Comme un con de parisien
J'attends mon chèque de fin de mois
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie

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RESTAURANT CHINOIS /Michel Delpech

Année : 1969 Auteurs compositeurs : Jany L - Bernard Kesslair Label : Germinal Référence : GS 45011 Durée : 2 m 18 s
Chez les yé-yé
Mélodisque
La Salade bidoise Paroles :

Je mange avec des baguettes au restaurant chinois.
Ma joie serait incomplète sans baguettes au chinois.

Ça fait dans mon assiette comme un ballet orientaaaaal…
Entre croquette de soja et pâté impérial.

Je mange avec des baguettes au restaurant chinois.
Moi je trouve ça très chouette, essaie et tu verras.

Tu te battras sans doute avec des pousses de bamboooouuuu…
Mais tu seras bien exercé pour le canard laqué.

Je mange avec des baguettes au restaurant chinois.
C'est beaucoup mieux qu'une fourchette et qu'un couteau, crois moi.

Quand je n'ai pas d'argent, je ne prends qu'un bol de riz blaaaaanc…
Oui mais avec des baguettes, le riz c'est épatant.

Quand je n'ai pas d'argent, je ne prends qu'un bol de riz blaaaaanc…
Oui mais avec des baguettes, le riz c'est épatant.

Je mange avec des baguettes au restaurant chinois.
Je mange avec des baguettes au restaurant chinois.
Je mange avec des baguettes au restaurant chinois.

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 "J'AI VU LA CHINE"

"Comptines de ma grand-mère" / Jean-Hugues Malineau Ed. Actes sud junior

"J'ai vu la Chine, je vous l'assure,

Elle est couverte de chinois ;

Les hommes y portent des sabots

En forme de petits chapeaux ;

Les femmes y portent des chaussures

En forme de coquille de noix"

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Paroles de la chanson Ping Pong Li par Georges Ulmer

{Parlé:}
Je vous invite maintenant à assister à un procès qui a eu lieu en Chine il y a 5000 ans.
Si tout le monde a déjà oublié le procès, tout le monde se rappelle encore du grand avocat
qui a épousé ce cas, qui s'appelait évidemment, tout le monde le sait, le grand avocat
Ping Pong Sing King LI.
Surtout ne perdez pas un mot de cette histoire : si vous perdez un seul mot, ça devient
du chinois.

{Chanté:}
Au tribunal de Shanghai l'accusé c'est Ping Pong Li
Pour lui voler ses bijoux il a tué Madame Shang Phi

Soyez indulgents et cléments réclame son avocat
Mon client coupable, honorable est atteint de coryza

Vous tribunal de Shanghai acquittez ce Ping Pong Li
Ce noble fils de Shanghai a souffert étant petit
Chez lui pas d'assiette, ni d'baguettes, pour pouvoir manger son riz
On volait ses billes, en famille, car son père y jouait aussi

Vous tribunal de Shanghai plaignez fort ce Ping Pong Li
Quand il a vu les bijoux d'un seul coup il a jauni

Quelle provocation, ces millions pour un distingué client
Et Madame Shang Phi, rabougrie, n'en avait plus pour longtemps

Ce noble fils de Shanghai m'a promis de s'amender
De rechercher du travail et de ne plus recommencer
Alors c'est convenu, vous ne tuez plus et le chinois répondit "non "
Les juges en émoi, dirent ma foi, dans le fond c'est un brave garçon

Et Ping Pong Li acquitté est chaudement félicité
Qu'allez vous faire, lui dit-on, en sortant de la prison

Ping Pong Li sourit et leur dit : "Avec bijoux de madame Shang Phi
Chaise longue et pastis, jolie fille, pénardiing toute ma vie"

.... Bo i no i nong
.... Monte Carlo
.... baccara
.... Cadillac
.... des gros cigare
.... et en même temps pognon

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Si j’allais en Chine

 

Chanson « Si j’allais en Chine » de la compagnie « Les Enfantastiques »

 

Si j’allais en Chine x5

Avec mes copains mes copines
Tout le monde en avion
Le temps de la récréation

Arrivée Pékin
Me voilà dans un palanquin
Messieurs allons vite
Pour voir la cité interdite

Si j’allais en Chine
Sur les collines de Guilin
Où l’on dit je t’aime en se récitant des poèmes

Direction Shangaï
Et après la grande muraille
Soyons à midi au tombeau de Qin Shi Huangdi

Si j’allais en Chine (x5)

Dire bonjour aux moines Shaolin
Maîtres du Kung Fu
A l’abri de nos vies de fou

Après la prière
Prendre de l’eau dans les rizières
Marcher sans répit
Dans le grand désert de Gobi

Si j’allais en Chine
Et le temps d’une nuit câline
Sur l’Himalaya
Aller caresser les pandas

Passer au Tibet
Pour crier ton nom liberté
Du haut de l’Everest
Embrasser le monde d’un geste

Si j’allais en Chine (x4)

Les Enfantastiques
Extrait de l’album Voyages (Monsieur Nô)

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Paroles de la chanson La Chine par Gilbert Becaud

Yang Tchou Kiang est venu de loin
Yang Tchou Kiang arrive à Pékin
Quelle ville !C'est la Chine !
Comme lui, il y en a plein

Avenue de la longue Paix
Comme lui sont venus exprès
Huit cent mille ! c'est la Chine !
À Pékin, le Grand Jour paraît

Ils arrivent par toutes les rues
Ils sont là, deux millions et plus
Qui piétinent ! C'est la Chine !
Et la foule soudain s'est tue

Une voix a parlé de loin

Cette voix a parlé si bien
Si tranquille ! C'est la Chine
Yang Tchou Kiang sera grand demain

Et ils chantent la joie ce soir
Et ils scandent les mots d'espoir
L'Evangile de la Chine
Et remontent dans les autocars
C'est la Chine ! {2x}

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 LE CHINOIS
Paroles et Musique: Charles Trenet
© - 1966

 

Ce marchand de chaussures, n’est pas sûr, je t’assure
Avec sa jambe de verre son œil de bois
Il n’a pas le teint du Rhône, il a même le teint jaune
Cet homme là, méfie toi, c’est un chinois.

Tu sais bien ce qu’on raconte, à coup sûr sur son compte
Des histoires de voleurs de hors la loi
Parait que c'est une fine lame, qu’il aurait tué sa femme
Elle disait en mourant, c’est l’chinois

S’il se donne l’air paterne, c’est qu’il met en lanterne
Tout son être et jusqu’au son de sa voix
Il fait bon qu’on l’déteste, qu’on le fuit comme la peste
Comme on doit, fuir je le crois certains chinois

Que fume t il dans sa pipe, de l’opium en principe
Dont il fait le trafic c’la va d’soit
Quand il dit sa prière, ass is sur son derrière,
Il prie qui, le bouda, un dieu chinois

Regardez son échoppe quel milieu interlope
Des gitans, des indiens de je n’sais quoi
Resté seul, il s’empresse de ne lire qu’une presse
Qu’un journal, le canard en chinois

Il fait les ressemelages, en papier d’emballage
Il s’nourrit de riz frit aux p’tits pois
Il raconte, même il ose, dire qu’il vient de Formose,
Pour qu’on croie qu’il n’est pas un vrai chinois

Quand il met une ass iette tout en haut d’une baguette
Une ass iette ou bien un dessous de plat
Elle tourne en roue libre, maintenue en équilibre
Il suffit qu’il agite un peu les doigts

Parfois il court la lande, disposant des guirlandes
Qu’il étale jusqu’au fond du p’tit bois
Et prés du précipice, tire un feu d’artifice
En criant, la poudre, invention chinois

Faisons vite en cachette, une collecte qu’on lui achète
Un billet d’émigrant, il y a droit
Offrons-lui un passage pour Pékin ou plus sage,
Pour Pantin au fond du quartier chinois
Qu’il s’en aille, Rome ou Sparte
L’important c’est qu’il parte
Car s’il reste dans dix ans oui ma foi
Il est capable d’atteindre son but qui est de déteindre sur nous
Et l'on s’ra quoi, tous des chinois.

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Paroles de Tchin Tchin Les Chinois

60 Comptines Pour Apprendre (spécial Crèches)
ALBUM

Tchin Tchin Tchin les chinois
Quand on est en Chine on marche à petits pas
(faire des petits pas avec l'enfant)
Tchin Tchin Tchin les chinois
Quand on est en Chine on se salue comme ça
(se saluer en mettant les 2 mains fermées devant son nez)

Tchin Tchin Tchin les chinois
Son assis par terre dans leurs belles robes de soie
(faire le geste d'une grande et belle robe avec les mains)
Tchin Tchin Tchin les chinois
N'ont pas de fourchettes mais des baguettes en bois
(faire le geste, en l'air, avec le doigt qu'on agite de droite à gauche puis de gauche à droite)

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Ching, le tout petit chinois

Du haut de la grande pagode
Ching le tout petit chinois
A mis sa tunique à la mode
Toute brodée en fil de soie.

Refrain :
Tchin tchin tchin
Liu ti pa
A Pékin ou à Shanghai
Tchin tchin tchin
Liu ti pa
A Shanghai ou à Pékin.

Il promène dans une cage
Ching le tout petit chinois
Un oiseau chanteur au ramage
Qui scintille et qui flamboie.
Refrain

Dans une jonque aux grandes voiles
Ching le tout petit chinois
Contemple des millions d’étoiles
Et la lune qui rougeoie.
Refrain

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Au pays des petits chinois
Au pays des petits chinois
Tout là-bas
On chante, on danse à petit pas
1,2,3
On se lève et puis on s’assoit
Lentement
En remuant le petit doigt
Vivement
On joint les mains sans hésiter
Gentiment
Pour saluer les invités
Poliment
Puis on se quitte à pas feutrés
Doucement
Avec les mains sur le côté
C’est charmant
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Quand on est en Chine

Quand on est en Chine
Et qu’on est chinois,
On mange avec des baguettes en bois.
Nous allons sur des bateaux,
Gros comme des coquilles de noix,
Nos voiles sont en roseaux
Légères comme des oiseaux.

Quand on est en Chine
Et qu’on est chinois,
On a de beaux parasols en soie.
Nos flûtes sont en roseau,
Nos chants s’envolent sous nos doigts
Et dans nos pousse-pousse
Nous allons sur des ponts de bois.

Les empereurs de Chine
Les empereurs chinois
Avaient de belles moustaches autrefois,
Et même de grands chapeaux
Une natte dans le dos
De jolis dragons chinois
Sur des robes de soie.

Gérard Dalton

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Si j’étais chinois
Si j'étais chinois
j'aurais un chapeau comme ça
un chapeau comme ça
Si j'étais chinois
j'aurais une maison comme ça
une maison comme ça
un chapeau comme ça
un chapeau comme ça
Si j'étais chinois
j'aurais un p'tit chien comme ça
un p'tit chien comme ça
une maison comme ça
une maison comme ça
un chapeau comme ça
un chapeau comme ça
Si j'étais chinois
j'aurais des baguettes
comme ça
des baguettes comme ça
un p'tit chien comme ça
un p'tit chien comme ça
une maison comme ça
une maison comme ça
un chapeau comme ça
un chapeau comme ça
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J'ai vu la Chine

J'ai vu la Chine, je vous l'assure,
un, deux, trois,
Elle est couverte de Chinois,
un, deux, trois.
Les femmes portent des chaussures,
un, deux, trois,
En forme de coquilles de noix,
un, deux, trois
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Le petit chinois
Chang est assis
Il mange du riz
Ses yeux sont petits
Riquiquis

Chang me sourit
Quand il me dit :
"Veux-tu goûter à mes litchis ?"

T'es dans ton bateau qui tangue
T'as mal dans tes tongues
Tu vois des orang-outans
Ta tête fait ping-pong
Ping !

T'es dans ton bateau qui tangue
T'as mal dans tes tongues
Tu vois des orang-outans
Ta tête fait ping-pong
Ping !
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ching_le_petit_chinois

 

Du haut de la grande pagode, Ching le tout petit chinois

A mis sa tunique à la mode, toute brodée de fils de soie

 

Ching, ching, ching …. A Pékin ou à Shanghai

Ching, ching, ching …. A Shanghai ou à Pékin

 

Il promène dans une cage, Ching le tout petit chinois

Un oiseau chanteur au ramage qui scintille et qui flamboie

Ching, ching, ching …. A Pékin ou à Shanghai

Ching, ching, ching …. A Shanghai ou à Pékin

.

 

Dans une jonque aux grandes voiles, Ching le tout petit chinois

Contemple des millions d’étoiles et la lune qui rougeoit

Ching, ching, ching …. A Pékin ou à Shanghai

Ching, ching, ching …. A Shanghai ou à Pékin

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Une poule à petits pas

est parti jusqu'à Pékin

Elle a mis dans son cabas

Un bout de laine et son pépin

 

En passant par le Japon

Elle se tricote un petit jupon

En traversant l'Alaska

Elle se tricote un petit parka

 

Une poule à petits pas

Est parti jusqu'à la Chine

A Pékin elle acheta

Une paire de belles bottine

Une poule à petits pas

Est parti jusqu'en Chine

A Pékin elle papota

Avec une vieille cousine

 

Une poule à petits pas

Qui s'en revint de Pékin

Elle ramène dans son cabas

Une jolie robe en satin

Une jolie robe en satin

Des garins de riz et un beau dessin

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Un petit chinois à bicyclette

Refrain :
Un petit chinois à bicyclette
Se promène dans les rues d’Pékin
Il a des chansons tout plein la tête
De drôles d’airs chinois.

Sur la route de Canton
Regardez tous ces vélos qui passent
Sur la route de Pékin
Il n’y a que le mien.
Refrain 

Sur la route de Nankin
Regardez quel beau coup de pédale
Sur la route de Tchangtcha
Il ne s’essouffle pas.
Refrain

Sur la route de Tientsinn
Regardez comme il est en roue libre
Sur la route de Liouta
Il marque le pas.
Refrain

Yves Jacquet

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Paroles de la chanson Sur Les Bords Du Yang-Tse-Kiang par Mireille Mathieu

En partant de ce grand pays
J'avais dans le coeur un plus
C'était un peu comme si
J'avais vu venus

Sur les bords du Yang Tse Kiang
Comme aux rives de la Seine
Si l'on parle dans une autre langue
On comprend ceux qui vous aime
Tout au bord du fleuve rouge
Comme dans notre Lorraine
On voit des lèvres qui bougent
Mais on les comprend quand même

Quelques heures et en trois coup d'ailes
Soudain c'est le bout du monde

Voici la Chine éternelle
Qui jaillit de l'ombre

Sur les bords du Yang Tse Kiang
Comme aux rives de la Seine
Si l'on parle dans une autre langue
On comprend ceux qui vous aime
Tout au bord du fleuve rouge
Comme dans notre Lorraine
On voit des lèvres qui bougent
Mais on les comprend quand même

Sur les bords du Yang Tse Kiang
Comme aux rives de la Seine
Si l'on parle dans une autre langue
On comprend ceux qui vous aime

Un jour je reviendrai

Bientôt je reviendra
Et ce jour-la je t'emmènera

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Charles et Johnny

Paroles Sur Le Yang-Tsé-Kiang
Dans les faubourgs de Pékin
On rencontre des apaches
Qui ont un petit air coquin
Et du riz sur les moustaches
Le soir, quand sonne minuit
Quel est sur le bord du fleuve
Ce couple qui va sans bruit
Comme une couleuvre ?

C'est le jeune Sullipan
Qui va faire la fête
Il amène sa gigolette
Sur le Yang-Tsé-Kiang
Il est très turbulent
C'est une mauvaise tête
Il amène la pauvrette
Sur le Yang-Tsé-Kiang
Il lui dit tu s'ras ma gosse
Je s'rai ton petit chinois
Avec toi je s'rai pas rosse
Car j'adore ton p'tit minois
Minet, minois, chinois, sournois
C'est le jeune Sullipan
Qui va faire la fête
Il amène sa gigolette
Sur le Yang-Tsé-Kiang

Mais un cri perce la nuit
C'est la barque qui chavire
La barque qui ensevelit
Le couple en délire
Car Sullipan, ce filou,
En séduisant la pauvrette,
Lui a dérobé ses bijoux
Pour payer ses dettes

C'est un drame angoissant sur le bord du fleuve
C'est le fleuve qui s'abreuve de gouttes de sang
Le chinois frémissant poignarde sa gosse
Puis il part faire la noce loin du Yang-Tsé-Kiang
Et malgré tout ce carnage
Et malgré ce jour maudit
Il gagne la rive à la nage
Et fait sécher ses habits

Car le jeune Sullipan pour payer ses dettes
A tué sa gigolette sur le Yan-Tsé-Kiang

Couplet moral :
Mais un soir plein de remords
Sullipan, dans la misère,
Voulut se donner la mort
En mangeant du verre
Comme il était habitué
À ne bouffer que des briques
Le verre pilé n'l'a pas tué
Mais lui a foutu la colique

C'était le jeune Sullipan
Qui allait faire la fête
Il amenait sa gigolette
Sur le Yang-Tsé-Kiang
Il était turbulent
Et très mauvaise tête
Il amenait la pauvrette
Sur le Yang-Tsé-Kiang
Il disait tu s'ras ma gosse
Je s'rai ton petit chinois
Avec toi je s'rai pas rosse
Car j'adore ton p'tit minois
Minet, minois, chinois, sournois
C'était le jeune Sullipan
Qui allait faire la fête
Il vient de piquer une tête
Dans le Yang-Tsé-Kiang

AUTRES CHANSONS...
"Petite pomme de chinois" de Mort Shuman (1974)
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Mandarinade (Chanson Chinoise)

Titre de Maurice Chevalier
Paroles
MANDARINADE
Là-bas, tout au fond de la Chine
Vivait un puissant mandarin
En compagnie d' sa mandarine
Chinoise garantie bon teint
Le mandarin austère et grave
Avait pour nom Kéktufoula
Sa femme s'appelait Fleur-de-Nave
C'est pas courant mais c'est chinois
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana King-Kong
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana Ping-Pong
Un jour, il partit en voyage
En laissant sa femme au logis
Et la belle au cœur très volage
S'amouracha d'un de ses coolies
C'était un Nippon fort bel homme
Malgré son p'tit air effacé
Il portait un nom à la gomme
Yamamoto Kakapoté
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana King-Kong
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana Ping-Pong
Bien qu'il fut coolie agricole
Il n'avait rien d'un va-nu-pieds
Car il sortait d'une grande école
L'école des Nippons déchaussés
Un soir, au jardin, sous les branches
La mandarine se donna
Le Nippon s'en paya une tranche
Bien sûr, c'est jaune et ça n' sait pas !
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana King-Kong
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana Ping-Pong
Au bout de neuf mois, elle fut mère
D'un amour de poupon nippon
Mais le père s'était fait la paire
L' coolie avait fait ses paqu'sons
Et quand, de retour de voyage,
Le mandarin vit le lardon
Il s'écria, bouillant de rage
Je suis un mandarin citron !
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana King-Kong
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana Ping-Pong
Hélas le pauvre homme, ô supplice
Fut si frappé par ce coup là
Qu'il en attrapa la jaunisse
Seulement chez lui, ça se voyait pas
En effet soit dit sans malice
C'était vraiment du superflu
On peut se passer de la jaunisse
Quand on est chinois et cocu !
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana King-Kong
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana Ping-Pong
Et voila l'histoire est finie
Et le pauvre Kéktufoula
après une lente agonie
A rendu son âme à Bouddha
La mortalité se devine
C'est que, lorsqu'on est mandarin
Faut surveiller sa mandarine
Sans quoi l'on y trouve des pépins.
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana King-Kong
Ming et Ming et Bong
Ana Wong Ana Ping-Pong
 
Paroliers : Pierre GILBERT / Maurice CHEVALIER / Betti Henri
Paroles de Mandarinade (Chanson Chinoise) © Beuscher Arpege